Le 27 février 1861
jour de la naissance de Rudolf Steiner

Günter Aschoff

Documents nouveaux

Dans le contexte des investigations sur l’incendie du premier Goetheanum (Das Goetheanum, n°42/2005/, 3/2007), Günter Aschoff a parcouru beaucoup de documents d’archives. Il a pu ainsi constater que la question du jour de la naissance de Rudolf Steiner était devenue incertaine suite à diverses publications. C’est la raison pour laquelle, en tant que responsable de la communauté de travail sur les Archives et l’histoire de Dornach, il a compilé tout ce qu’il a pu trouver au sujet du jour et du lieu de la naissance de Steiner. Il résulte de cette compilation que le 27 février 1861, et non le 25, est bien le jour de la naissance de Steiner.

Contrairement aux publications faites jusqu’à présent, le père de Rudolf Steiner, Johann Baptist Steiner n’est pas né à Geras (même dans « Mon chemin de vie », GA 28, p.8), mais pas très loin de là, dans un petit hameau : Trabenreith, le 23 juin 1829 (1). Son père y était garde-chasse et garde-forestier (a). Après que ses parents eurent déménagé à Geras et que Johann Baptist Steiner eut fréquenté un certains temps le lycée, il devint à son tour, vers 1850, chasseur au service du Comte Hoyos ; plus tard, il travailla et vécut à Horn. C’est là qu’il fit la connaissance de la couturière Franziska Blie, née le 8 mai 1834. En 1858, ils décidèrent de se marier. Pour cela le père dut d’abord demander l’autorisation à son employeur, le Comte (2). Mais celui-ci n’y consentit point, car il ne voulait qu’un chasseur célibataire. Là-dessus, le père décida d’aller travailler à la Südbahn, la voie de chemin de fer qui venait d’être créée, la première ligne qui reliait Vienne à Trieste. Il y fut formé comme télégraphiste. En mai 1859, il commença son travail à la Südbahn à Prestranek, dans les environs de St. Peter, l’actuelle Pivka, à quelques 30 km à l’Est de Trieste. Prestranek est un hameau insignifiant, avec une forteresse où à l’époque se trouvait le grand élevage de chevaux de Lipizzan pour l’école hippique de la cour de Vienne (b).

Mariage des parents

Le 14 janvier 1860, Johann Baptist reçut l’autorisation de se marier du district de Geras. Le 20 mars Johann Baptist Steiner et sa fiancée effectuèrent à la paroisse catholique de Horn, ce qu’on appelait alors l’examen des fiançailles (Brautexamen). À cette occasion tous leurs documents personnels furent contrôlés, ainsi que leur profession de foi. Là-dessus, le fiancé alla reprendre son travail à Prestanek, où, entre temps, il habitait aussi. Il était manifeste alors que les noces dussent avoir lieu au lieu de naissance du fiancé. Dans le registre des mariages de Horn, se trouve indiqué, à la date du 8 mai 1860, que le mariage eut lieu en présence du prêtre Slavina, en charge alors de la paroisse de Prestanek. Jusqu’à présent, il n’a pas été possible de vérifier à Prestanek la date précise du mariage. Pour son mariage, Franziska Blies dut se rendre à pied à Vienne, pour y prendre le Südbahn jusque Prestanek. Les jeunes mariés vécurent là jusqu’au tournant de l’an 1860/61, moment où Johann Baptist Steiner fut muté à Krajelvec et où ils logèrent au numéro 24. Le père assurait son service à la gare durant trois jours suivis de trois nuits.

Naissance à la gare de Kraljevec

C’est alors qu’approcha la naissance du premier enfant. Elle traîna en longueur du 26 au 27 février tard dans la nuit. On doit supposer que le père Johan Baptist incita son épouse à l’accompagner à la gare, afin qu’elle ne restât pas seule à la maison pendant la naissance. À la gare de Krajelvec, il y avait une petite chambre à coucher et un bureau pour les employés qui étaient de service, ainsi qu’une salle d’attente (3). Rudolf Steiner naquit donc le 27 février à 23h 15, à la gare de Krajevec. L’heure en fut indiquée plus tard par Rudolf Steiner à l’astrologue anglais Alan Leo, à la demande de celui-ci, soit durant le congrès de Munich en 1907, soit lors du congrès de Budapest en 1909. Alan Leo avait donné une conférence à chacun de ces congrès. L’heure de naissance de Rudolf Steiner a ainsi été connue (4).

Lors de la naissance étaient présents, outre la mère et le père, le chef de gare Laurentius Diem et son épouse Josefa Jakl, la marraine, et une sage-femme. Celle-ci coupa le cordon ombilical au niveau du nombril. Pour quelque raison que ce soit, ce cordon ombilical fut mal coupé et cela entraîna une hémorragie si grave que les parents, sans hésiter, décidèrent d’accomplir un ondoiement. Lequel consistait en ce qu’un catholique baptisé prononçât simplement ces paroles : « Je te baptise au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. » Car il était déjà minuit, ou bien peu avant minuit, et l’on ne voulait pas que le nouveau-né mourût sans être baptisé.

Le jour suivant ou le sur-lendemain, on procéda au baptême proprement dit à l’église de Draskovec. Le prêtre en exercice dans la paroisse, Gabriel Mestritz, inscrivit au 27 février 1861, dans le registre des Baptêmes (au numéro d’ordre 25, ndt), la naissance et le baptême de « Adolphus Laurentius Josephus Steiner ». À la rubrique lieu de naissance, il indiqua « Krajelvec 24 », et enfin, à celle du nom et fonction du prêtre qui baptise, il écrivit : « Gabriel Mestritz ».

On ne sait pas pourquoi il y eut cette erreur dans le prénom. Mais dans le premier volume de la correspondance, paru pour la première fois en 1948, dans les notes de la conférence autobiographique du 4 février 1913, il est signalé en supplément que le baptême chrétien eût lieu sous les prénoms de « Rudolf Joseph Laurenz » (5). Les notes de cette conférence provenaient de Carlo Septimus Picht. Après la mort de Rudolf Steiner, le 30 mars 1925, Picht avait recherché à Horn la soeur de Steiner Leopoldine, avec laquelle il avait eu un entretien. Sur la base de cet entretien, qui concerna certainement la naissance, on en vint à cette phrase lapidaire : « La naissance de Rudolf Steiner s’était étalée du 26 au 27 février 1861, ce qui conduisit à un ondoiement. Le baptême chrétien s’ensuivit à la paroisse catholique de Draskovec, près de Krajelvec, sous les prénoms de Rudolf, Joseph, Lorenz. » (5). À signaler que la pose de la première pierre du Johannes-Bau eut lieu également un 27 février (6).

Situation confuse des documents-sources

En plein moment du Dreigliederung Rudolf Steiner fut souvent très violemment pris à partie et il fut amené dans les conférences à mentionner son baptême catholique, en montrant lui-même ou par d’autres, son certificat de baptême. Dans la conférence du 8 juin 1920 à Stuttgart, par exemple, il déclara pour conclure : « qu’il avait été baptisé le 27 février 1861 à Krajelvec comme fils de parents bon-catholiques », (7), ce qui, pour le moins, renvoie indirectement à l’ondoiement.

Le 27 février est donc la seule et unique date confirmée par ses parents et la seule toujours indiquée par Rudolf Steiner. Lorsqu’il se rendit à l’école professionnelle supérieure (b) à Wiener-Neustadt, ses parents indiquèrent sa date de naissance comme étant le 27 février 1861.

Après avoir achevé ses études à l’école professionnelle supérieure, il entra à Vienne à l’école polytechnique de Vienne (d). Pour cela, il avait besoin d’un pièce justificative (e). À l’époque c’était l’Église qui assurait l’état civil, car il n’y avait pas encore d’administration civile au sens actuel du terme. Combien ce baptême d’église comptait, on peut s’en rendre compte simplement au fait que la soeur de Steiner, née à Pottschach, demanda un certificat de baptême, mais ne l’obtint jamais, étant donné que le prêtre avait tout bonnement omis de l’inscrire au registre des baptêmes. C’est ainsi qu’elle resta sans documents d’identité durant toute sa vie jusqu’à sa mort, survenue le 1er novembre 1927 (8).

Les deux photos du certificat de baptême

Il existe deux photos de ce document nouvellement établi : la première date du 1er février 1914, lorsque Rudolf Steiner demanda à Max Benzinger de photographier ce document ; la seconde a été réalisée entre 1918 et 1920, à l’époque du Dreigliederung, lors de laquelle Steiner se vit confronter à d’inextricables suspicions et insultes. C’est pourquoi, cette seconde photographie fut aussi probablement faite par Benzinger. On fit même des tirages de cette dernières pour les distribuer aux membres du Dreigliederung qui donnaient des conférences. Ils avaient donc ainsi, en cas de besoin sous la main, la preuve concrète que Rudolf Steiner avait reçu un baptême et une éducation chrétienne (9).

On parvient presque à tout déchiffrer de la première photo du 1er février 1914, à l’exception de quelques endroits portant des petits compléments, mais significatifs. On voit nettement sur cette photo que le prêtre de Neudörfl a fait corriger le prénom Adolphus en « Rudolf » et le lieu de naissance en « Gare de Kraljevec ». Avec les parrain et marraine « Lorenz Diem et Josefa Jakl » il compléta encore par « Chef de gare » et par le nom et la fonction du prêtre qui baptisa l’enfant avec les lettres majuscules prouvant que « Baptême de tout un chacun est attesté », et donc aussi chaque parent attesta qu’il y avait eu un ondoiement.

La seconde photo de 1918/1920 ne révèle déjà plus qu’un certificat à peine lisible, sur lequel il n’est plus possible de distinguer l’endroit décisif de la naissance et du baptême, si l’on ne connaît pas déjà quelques informations sur le lieu où cela aurait pu avoir lieu. Mais, dans la première colonne on distingue nettement un « 25 ». Comme on peut le conclure de la photo de 1914, ce chiffre correspond en fait au numéro d’ordre des naissances de l’an 1860. Comme des tirages de la photographie de 1918/20 avaient été distribués, une méprise pouvait survenir en prenant ce numéro d’ordre pour la date du 25 février. Il existe en outre deux lettres d’Eugénie Bredow à Rudolf Steiner de l’année 1921, dans laquelle elle en vient à parler du 25 février 1861 comme date de naissance (10). On doit donc partir du fait que ce nombre 25 fut transmis de bouche à oreille.

Certaines incertitudes

Il se peut aussi que Rudolf Steiner soit devenu lui-même quelque peu incertain, car il savait par ses parents qu’il n’avait pas reçu un vrai baptême d’église — et que celui-ci ne put effectivement pas avoir lieu le jour de sa naissance. C’est pourquoi il crut un certain temps que sa naissance dût avoir lieu le 25. Une clarification à ce sujet n’intervint au plus tard qu’en 1923, lorsque Steiner pour la dernière fois rendit visite à sa soeur Leopoldine, à Horn, pour aborder et éclaircir entre autres aussi la question de sa naissance. À cette époque, il avait également commencé à rédiger son « Chemin de vie » (f). On dispose du passage suivant provenant du début de son « chemin de vie », qui provient bien d’octobre 1923, et qui est resté sur une feuille : « Ma naissance eut lieu le 25 février 1861. Deux jours plus tard, je fus baptisé » (11). On peut en conclure que Rudolf Steiner savait qu’il avait été baptisé deux jours après sa naissance. Ce papier conservé aux archives Rudolf Steiner est le seul de la main de Steiner, portant la date du 25 février 1861. Par la suite il ne fut plus utilisé nulle part, ou selon le cas publié ; au lieu de cela parut le 9 décembre 1923, dans « Das Goetheanum » n°18, le début du « Chemin de vie », les premières pages. On y dit : « À Krajelvec, je suis né le 27 février 1861 — presque dans les mêmes termes que dans la conférence autobiographique du 4 février 1913, où il fut amené à ce défendre effectivement contre certains mensonges proférés à son encontre.

On ne peut donc pas dire que Rudolf Steiner aurait dissimulé sa vraie date de naissance, d’autant que rien ne fut aussi important dans sa vie que la véracité. De la part d’élèves de l’école ésotérique ou de membres du FM (de la Mystica Aeternae) on sait, que les exigences les plus rigoureuses pour ce qui est de la vérité leur étaient réclamées. On ne doit pas s’attendre de la part de quelqu’un qui avait de telles exigences à ce qu’il publie une fausse date de naissance le concernant.

Il résulte de tout cela que la date du 27 février 1861 fut bien le jour de la naissance de Rudolf Steiner. Sur tous les autres documents restants — ceux de l’école polytechnique de Vienne, des archives de Weimar, et ceux de l’époque berlinoise — ou sur les fiches individuelles qu’il devait remplir (g), lorsqu’il rendait visite à ses parents à Horn, on trouve toujours la date du 27 février 1861.

Contexte historique universel

Qu’est-ce qui peut encore nous frapper en cette date du 27 février ? On ne fera que brièvement allusion ici au vaste contexte dans lequel se situe la naissance de Rudolf Steiner. Le 27 février 1784 mourut à Eckernförde le Comte de Saint Germain. Onze fois 7 ans plus tard, naquit Rudolf Steiner. Il commenta l’importance de ce nombre dans les conférences sur l’Évangile de Matthieu (11). Il rapporte dans les conférences des 4 novembre et 16 décembre 1904, que le Comte de Saint Germain fut la dernière incarnation de Christian Rose-Croix (12). Sa relation à cette individualité a été souvent et fondamentalement décrite par Rudolf Steiner, ainsi que son lien étroit avec elle et avec ce qu’il avait à faire dans sa vie.

Karl König signale une autre particularité, qu’il publia en 1955 dans les « Communications du travail anthroposophique en Allemagne » (Pâques 1955, p.64 et suiv.), sous le titre « l’année 1860 avant et l’année 1860 après le Mystère du Golgotha ». Il y fait référence à une conférence de Rudolf Steiner du 6 février 1920 (13), dans laquelle Steiner expose que la connaissance de la réincarnation avait disparu totalement en 1860 avant le Mystère du Golgotha. On avait bien alors quelques pressentiments ou sentiments au sujet de la réincarnation, mais dès cette date un vraie connaissance de la réincarnation disparut. C’est le mérite de Karl König d’avoir nettement indiqué ce rapport. Car il est frappant à présent qu’en l’an 1860 après le Tournant des Âges, les parents de Rudolf Steiner s’étaient décidés à se marier et que s’apprêtait à naître Rudolf Steiner, celui qui pouvait apporter une connaissance nouvelle de la réincarnation dans tout son contexte. Ce laps de temps jusqu’à 1860 englobe 100 noeuds lunaires (du premier janvier de l’an 1 ap. J.-C., au 20 décembre 1859). On peut dire pour cette raison, comme le fait Karl König dans son article, que l’an 1860 fait aussi partie des dates importantes de la biographie de Rudolf Steiner. Et avec cela, la résolution apparemment énigmatique des parents de se marier dans des circonstances aussi défavorables (g).

L’autre date importante, l’an 1879, est la date à laquelle Steiner entra à l’école polytechnique de Vienne — à l’occasion de laquelle fut rétablie et corrigée l’attestation de baptême — ainsi que le commencement de l’époque de la régence de Michel. Les dates importantes en rapport avec la vie de Steiner sont : l’an 1899, la fin de l’âge sombre ou Kali Yuga, puis l’an 1909, le début de la perception du Christ dans l’éthérique et 1910 où pour la première fois, le 12 janvier à Stockholm, il parle de cela. Il est frappant aussi que le 22 janvier 1910, mourut le père de Rudolf Steiner — et donc dans cette période de temps. À l’appui de ces indications, on peut remarquer dans quel contexte historique universel significatif se situe la naissance de Rudolf Steiner.

Tout ceci, et également ce que Rudolf Steiner a dit dans ses conférences et ce qu’il a publié lui-même, indique avec certitude la date du 27 février comme celle de sa naissance.

Das Goetheanum, n°9/09

(Traduction Daniel Kmiécik)

Notes :

(1) Découvert dans une lettre de Marco Baldini, Vienne, à Gunther Wachsmuth du 3 septembre 1962 ; Archives au Goetheanum. Confirmé par une copie «  Geburtsregister  », de Trabenreith et «  Trauungsrapular  » de Horn du 20 mars 1860.

(2) Voir Christoph Lindenberg : Rudolf Steiner – Une chronique , Stuttgart 1988, p.25.

(3) À l’époque au n° 96, en 1961, au n° 7, voir Hildegard Gerbert : Krajelvec , dans : Feuille aux Membres du 10 octobre 1965.

(4) Voir Alan Leo : How to judge a Nativity ; (Comment juger d’un Nativité) , Londres 1909, p.247 ; seulement là les éphémérides — il en résulte, heure déterminée par le calcul, 23 h 15 min environ.

(5) Voir Rudolf Steiner : Correspondance I , Dornach 1948, p.241 et suiv.. On ne les retrouve plus que dans les éditions de 1948/1955 !

(6) Voir Christoph Lindenberg : Rudolf Steiner, une Chronique, Stuttgart 1988.

(7) Voir Rudolf Steiner : L’Anthroposophie et ses opposants 1919-1925 (GA 255b), p.225.

(8) Notes de Leopoldine Steiner de sa dernière année de vie 1927. Rédigées probablement par Margarete Karner, qui la soigna jusqu’à sa mort. Copie aux Archives au Goetheanum.

(9) Décrit dans : GA 255b, p.459.

(10) Imprimé dans « En souvenir du jubilée de la mort de Rudolf Steiner. Contributions à l’Édition complète des Œuvres de Rudolf Steiner » N°49-50/1975, p.5.

(11) Voir Rudolf Steiner : Témoignages personnels , Dornach 2007, p.73. Peut-être que dans ce première ébauche, Rudolf Steiner voulait-il d’abord harmoniser les aspects ésotériques et exotériques. Pourtant, par la suite, il avait résolu d’y adjoindre certaines choses en notes, comme cela est signalé dans une lettre adressée à Marie Steiner du 13 décembre 1923 (dans Rudolf Steiner/ Marie Steiner-von Sievers : correspondance et documents 1901-1925, GA 262).

(12) Voir la note 11 , p.14.

(13) Voir la conférence du 5 septembre 1910 (GA 123).

(14) Voir Rudolf Steiner : La légende du Temple et la Légende dorée (GA 93).

(15) Rudolf Steiner : Transformations spirituelles et sociales dans l’évolution de l’humanité (GA 196).

Notes du traducteur :

(a) Rivierjäger- rivierförster , littéralement « chasseur et forestier de la rivière » (ou de la vallée) (dict. Toussaint-Langenscheidt, Berlin 1874).

(b) Pour ces étonnants et extraordinaires chevaux voir :

http://209.85.129.132/search?q=cache:jPYV7dQoIpEJ:www.cheval-passion.com/IMG/rtfDossier_de_Presse_2008.rtf+Lipizzan+pour+l%E2%80%99%C3%A9cole+hippique+de+la+cour+de+Vienne+Prestranek&hl=fr&ct=clnk&cd=1&gl=fr

(c) Oberrealschule , traduction du Sachs-Villatte 1905.

(d) Hochschule , même référence de traduction.

(e) Le fameux «  Ausweis bitte !  » que nos ancêtres ont connu pendant trois guerres dans le Nord de la France !

(f) Mein Lebensgang, ordinairement traduit en Français par « Autobiographie », alors qu’il s’agit plutôt du parcours philosophique qui le guida concrètement à prendre conscience de son oeuvre sur terre ; rien à voir avec la tendance actuelle de rédiger des biographies dès qu’on figure au PAF !

(g) Au passage des frontières, entre autres.

(h) Ou tout simplement qu’ils s’aimaient, mais d’où vient l’amour vrai, c’est là qu’est la réponse à la question, à laquelle Rudolf Steiner a commencé à donner une réponse difficilement admissible pour la mentalité actuelle.


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