Extrait d'un conférence (1, Nde) C'est un esprit, sans lequel, dans le monde et d'une façon générale, jamais les vraies réalités de la culture n'auraient pu avoir lieu. Et si nous pensons à ce qu'il existe de plus grand: c'est l'esprit, sans lequel il n'y aurait jamais eu un Homère, un Pindare, un Raphaël, un Michelange; sans lequel il n'y aurait jamais eu aucun approfondissement religieux de l'être humain, ni aucune vie de l'esprit ou de culture extérieure. Car tout ce que l'homme veut créer, il doit le faire en puisant à cet esprit. Et s'il croit pouvoir créer sans lui, c'est qu'il ne sait pas, que tout effort spirituel tombe en décadence pour un certain temps et que ce qui provient dans une mesure encore plus mince de l'esprit est d'autant plus voué à la mort que ce qui est vraiment créé à partir de l'esprit. Ce qui a une valeur éternelle, cela provient de l'esprit, et aucune création ne perdure, si elle ne provient pas de l'esprit. Mais la plus petite création, même lorsqu'elle se produit dans la vie de tous les jours, a une valeur éternelle et nous relie à une dimension spirituelle, car tout ce que fait l'être humain se trouve sous la direction de la vie spirituelle. Dans notre vie théosophique Peut-on véritablement se faire une idée de la manière dont cet esprit a agi, à partir des événements qui se sont déroulés dans notre culture? J'ai dit que depuis le 11 Tentons de nous faire une idée, donc, de la manière dont cet esprit affluait de manière inconsciente dans les âmes. Vous êtes tous assis ici ensemble. Nous cultivons entre nous ce que manifeste cet esprit: d'une manière ou d'une autre, les âmes humaines évoluent pour accéder et s'élever peu à peu dans les régions où elles peuvent comprendre la vie spirituelle, où peut-être même elles peuvent aussi contempler la vie spirituelle. Beaucoup d'entre vous se sont efforcés depuis des années à laisser pénétrer dans leur âme les concepts et idées qui, pour nous, reflètent la vie spirituelle, pour en retirer leur nourriture spirituelle. Ils connaissent l'art et la manière dont nous faisons comprendre les énigmes du monde. J'ai souvent décrit, pour ma part, la façon dont se passent les divers degrés du développement de l'âme, la manière dont l'âme vit en s'élevant dans les mondes supérieurs. On a dit comment l'être humain doit distinguer une partie supérieure de son je d'une autre inférieure; on a décrit comment l'être humain a traversé d'autres états d'évolution planétaire, comment il traversa les évolutions de l'Ancien Saturne, de l'Ancien Soleil et de l'Ancienne Lune, lors desquelles il forma ses corps physique, éthérique et astral, et la manière dont il a commencé ensuite son évolution terrestre. On a dit que quelque chose réside en nous qui doit trouver sur cette Terre une sorte « d'école », afin de s'élever à quelque chose de supérieur. On a dit aussi, que certaines entités, qui ont été retardées en tant qu'entités lucifériennes lors de l'évolution de l'Ancienne Lune, se sont ensuite insinuées dans le corps astral humain, pour donner par ce moyen à l'être humain ce qu'elles pouvaient lui donner. Ensuite, nous avons souvent évoqué la façon dont l'être humain doit surmonter dans son je inférieur une chose ou une autre, vaincre une chose ou une autre, pour s'élever dans les sphères, auxquelles appartient son Je supérieur Tant que tu ne le tiens Ce « meurs et deviens », Tu n'es qu'un visiteur sombre Sur cette Terre d'ombre. Nous avons dit en outre, que l'évolution humaine, qui est aujourd'hui possible, et qui peut nous donner énergie et assurance ainsi qu'un réel contenu de vie, est à atteindre par le fait de nous approprier, par exemple, la connaissance de la polyarticulation de la nature humaine, d'apprendre à comprendre que cet être humain n'est pas assemblé de manière chaotique, mais consiste en corps physique, corps éthérique, corps astral et Je. Nous n'avons pas voulu dire cela au moyen simplement de mots, mais par la caractérisation précise des divers tempéraments, par l'observation de l'éducation humaine, ainsi que par la manière dont elle se déroule en tant qu'évolution du corps physique, jusqu'à la septième année, du corps éthérique jusqu'à la quatorzième année, du corps astral jusqu'à la vingt-et-unième année, et ainsi avons-nous amené toutes ces informations jusqu'au niveau de représentations bien déterminées. Et à partir des considérations sur la mission de la vérité, de la dévotion, de la colère, et ainsi de suite, nous avons reconnu comment toutes ces idées, que nous avons appris à connaître comme corps physique, corps éthérique et corps astral, âme de sensibilité, âme d'entendement et âme de conscience, ne peuvent rester de simples abstractions conceptuelles, et comment on peut faire vivre de telles intuitions ainsi que la manière dont elles constituent notre ambiance en toute clarté et avec tout leur riche contenu. Ainsi nous sommes nous fait comprendre sur les mystères du monde. Nous pouvons nous mettre d'accord aujourd'hui là-dessus. Et s'il existe encore à l'extérieur beaucoup de gens qui persistent, plus ou moins consciemment, dans le matérialisme, il y a cependant un certain nombre d'âmes qui ressentent comme une nécessité de la vie d'écouter de telles descriptions telles qu'elles peuvent être données ici. Beaucoup d'entre-vous n'auraient pas assisté, ni participé, à ce à quoi nous nous adonnons ici, si cela n'avait pas été pour eux une nécessité pour leur vie. Pourquoi existent-ils aujourd'hui des âmes qui comprennent cela, qui peuvent suivre le cheminement de la vie humaine dans les concepts et conceptions que nous développons ici? C'est pour la raison suivante: comment en sont-elles aujourd'hui venues à naître dans un monde habitées par de telles nostalgies, comme j'ai tenté de le dépeindre juste avant? En bien!, nos ancêtres en Europe, c'est-à-dire un grand nombre des âmes ici présentes aujourd'hui, lors des siècles écoulés, sont entrées par leur naissance dans un autre environnement, un autre monde que celui du 19 Dans ces temps, il n'existait sans doute pas de Société Théosophique Résolu, il continua donc; il atteignit la première montagne, puis la seconde et y trouva la mère dragon, l'archétype même de la laideur. Mais lui savait bien qu'il ne dépendait que d'elle qu'il pût trouver ou non la fille de la reine des Fleurs. C'est alors qu'il vit sept autres dragons autour d'elle, qui étaient tous avides de surveiller la reine des Fleurs et sa fille, qui étaient emprisonnées depuis longtemps et devaient être délivrées par le fils de roi. C'est alors que celui-ci dit à la mère dragon: oh!, je reconnais que je dois devenir ton serviteur, si je veux découvrir la reine des Fleurs! En effet, dit-elle, tu dois devenir mon serviteur, mais tu dois aussi me rendre un service qui n'est pas si facile. Voici une jument, que tu dois conduire au pré, le premier jour, le second jour et le troisième jour. Si tu la ramènes en bonne santé à la maison, peut-être pourras-tu, dans trois jours, atteindre ce que tu veux. Mais si tu ne me la ramènes pas en bonne santé, mes dragons te dévoreront nous te dévorerons tout cru! Le fils de roi se déclara d'accord et le jour suivant, on lui confia la jument. Il voulut la mener au près, mais elle disparut bientôt. Il la chercha, mais il ne put la trouver et en fut bien malheureux. C'est alors qu'il se souvint de la clochette que la vielle femme lui avait donnée. Il la sortit de sa poche et la fit tinter une fois. Aussitôt s'assemblèrent beaucoup d'aigles menés par le roi des Aigles, qui se mirent à la recherche de la jument et il put ainsi la ramener à la mère dragon. Elle lui dit: parce que tu as ramené ce cheval, je te donnes un manteau de cuivre, afin que tu puisses prendre part au bal qui aura lieu cette nuit dans le cercle de la reine des fleurs et de sa fille. Le second jour, il devait de nouveau mener la jument au pré. On la lui confia de nouveau, mais bientôt elle disparut de nouveau, et il ne put la retrouver nulle part. Il tira sa clochette de sa poche et la fit tinter deux fois. Aussitôt le roi des Renards apparut, suivit d'un nombreux ban de ses congénères, qui se mirent à la recherche de la jument et le fils de roi put de nouveau la ramener à la mère dragon. Celle-ci lui dit: aujourd'hui, tu recevras un manteau d'argent, afin que tu puisses de nouveau te rendre au bal qui a lieu cette nuit dans le cercle de la reine des fleurs et de sa fille. Au bal, la reine des fleurs lui dit: exige au troisième jour un poulain de cette jument! Avec ce poulain tu pourras me délivrer et nous serons réunis. Le troisième jour, on lui remit de nouveau la jument pour qu'il la mène au près. Celle-ci disparut bientôt, car elle était très sauvage. Il sortit donc la clochette de sa poche et la fit tinter trois fois et aussitôt le roi des Poissons vint avec toute sa bande qui se mit à la recherche de la jument, si bien qu'il la ramena encore, pour la troisième fois, à la maison. Il avait accompli sa tâche avec bonheur. La mère dragon lui donna alors un manteau d'or en récompense, sa troisième enveloppe, si bien qu'il put se rendre au bal de la reine des Fleurs au soir du troisième jour. Et il put en outre recevoir le poulain de cette jument qu'il avait gardée, comme un cadeau qui lui revenait de droit. Avec lui, il put ensuite ramener la reine des fleurs et sa fille à leur château. Et autour du château, puisque tous les autres voulaient aussi enlever la fille de la reine des fleur, il fit croître une muraille de buissons épineux, si bien que le château ne put être pris d'assaut. Et la reine des fleurs dit au fils de roi: tu as mérité ma fille; tu dois l'avoir désormais, seulement sous une condition cependant: tu ne dois l'avoir que la moitié de l'année; durant l'autre moitié de l'année, elle doit retourner sous la surface de la Terre, afin qu'elle puisse être avec moi, car c'est seulement ainsi que tu pourras être uni à elle. Ainsi reçut-il donc la fille de la reine des Fleurs et vécut-il avec elle durant une moitié de l'année, tandis que l'autre moitié elle vivait avec sa mère. On fit entrer autrefois dans de très, très nombreuses âmes des histoires comme celle-là ou d'autres. Les âmes écoutaient et les absorbaient mais elles ne les prenaient pas à la manière allégorique de ces théosophes singuliers de l'époque moderne, car pour de telles choses ne convient pas l'interprétation symbolique ou allégorique. Non, les êtres humains les adoptaient parce qu'ils y prenaient du plaisir et en retiraient de l'agrément, parce qu'ils sentaient se répandre dans leur âme toute la vie chaleureuse de tels récits. Et ils ne désiraient rien de plus, quand tout cela passait dans leur âme, quand on leur racontait l'histoire du fils de roi, de ses faits et gestes avec la clochette et sa conquête de la fille de la reine des Fleurs. Et beaucoup d'âmes vivent aujourd'hui, qui en ces époques ont entendu cela et l'ont absorbé avec plaisir et joie. Et quand quelque chose comme cela est absorbé pour le ravissement et l'assouvissement de l'âme, cela continue de vivre dans l'âme. Tandis que de telles âmes adoptent de telles formes idéelles, en sensations et émotions, elles deviennent ensuite différentes de ce qu'elles étaient avant. Cela porte des fruits, cela donne des forces aux âmes et ses forces se métamorphosent, deviennent quelque chose d'autre. Que sont-elles donc devenues, ces forces? Elles sont devenues ce qui maintenant vit dans les âmes sous forme d'aspiration ardente à une plus haute exposition des mêmes Mystères, d'aspiration ardente à la science de l'esprit. Autrefois, les rhapsodes n'ont pas simplement récité: il existe un être humain, qui aspire à son Je supérieur et doit, pour cela, surmonter ce qui veut le rabaisser à son je inférieur. Mais ils ont raconté: il y avait un fils de roi; celui-ci sortit se promener à cheval et trouva un fossé, duquel provenaient des gémissements, et fit ce qui était un acte de bonté. Aujourd'hui, nous disons: l'être humain doit faire quelque chose, qui est un acte de bonté, un acte d'amour, un acte de sacrifice. Autrefois, on racontait un tel acte en images. Aujourd'hui, nous disons: l'être humain doit accueillir en lui cette atmosphère de l'esprit, par laquelle il entretient un pressentiment du monde spirituel, une relation avec lui, avec laquelle et par laquelle il devient capable, de développer ses énergies pour pouvoir établir un rapport avec le monde spirituel. Autrefois on disait cela en images: la vieille femme donna une clochette au fils de roi, qu'il devait faire tinter. Aujourd'hui, on dit: l'être humain a absorbé en lui les autres règnes de la nature; ce qui est étalé là au dehors, l'être humain l'a réuni de manière harmonieuse en lui. Mais il doit comprendre, comment cela vit en lui, ce qui est étalé là dehors, et il ne peut surmonter sa nature inférieure qu'en se plaçant dans une juste relation avec ce qui agit dans les règnes de la nature, afin que cela puisse lui venir en aide. Nous avons souvent parlé de l'évolution de l'être humain au travers des états planétaires des anciens Saturne, Soleil et Lune et de ce qu'il a abandonné aux autres règnes, tout en retirant ce qu'il y a de meilleur pour lui, afin de pouvoir s'élever. À quel fin a-t-il développé cela? Pour ce pourquoi Platon avait déjà employé une image pour désigner ce qui vit dans l'âme de l'être humain: l'image du cheval, sur lequel il chevauche d'incarnation en incarnation. Autrefois, on proposait l'image de la clochette que l'on faisait tinter pour faire venir les règnes de la nature et leurs représentants, le roi des Aigles, le roi des Renards et le roi des Poissons, pour mettre dans une relation juste ce que le souverain des trois règnes naturels doit devenir. L'âme de l'être humain est sauvage, et ce n'est que par le fait que l'amour et la sagesse la saisissent et la polissent que l'homme en arrive à cette juste relation. Cela autrefois était proposée d'une manière imagée et vivante à l'être humain. L'âme était ainsi conduite à ce qu'aujourd'hui elle puisse comprendre ce que nous racontons d'une autre façon. Autrefois, on racontait: quand il fit tinter la clochette une fois, le roi des Aigles vint, quand il la fit tinter deux fois, le roi des Renards vint, et quand il la fit tinter trois fois, ce fut le roi des Poissons; et tous purent à chaque fois lui retrouver son cheval. Cela veut dire, les tempêtes de l'âme humaine, qui sauvagement déferlent en elle, doivent être reconnues, et si nous les reconnaissons, notre âme peut aussi se libérer de ce qu'il y a de plus bas en elle, en y mettant de l'ordre. Nous disons: L'être humain doit apprendre à connaître combien il dépend de ses propres passions, de sa propre colère et autres, dans sa propre évolution, en relation avec sa progression de sept ans en sept ans, à savoir, combien nous devons apprendre à connaître dans la vie humaine cette triple nature d'enveloppe de l'être humain. Autrefois on proposait cette grandiose image: à chaque fois que le fils de roi avait fait tinter sa clochette, c'est-à-dire qu'il s'était rendu maître de l'un des règnes naturels, il recevait son enveloppe, son manteau. Nous disons aujourd'hui: nous étudions la nature du corps physique. Autrefois, on employait l'image: la mère dragon lui donna un manteau en cuivre. Nous disons: nous apprenons à connaître la nature de notre corps éthérique. Autrefois: la mère dragon lui donna la seconde fois un manteau d'argent. Nous disons, en outre: nous apprenons à connaître notre corps astral avec toutes ses passions qui le déséquilibrent et se contrebalancent et ainsi de suite. Autrefois on disait, en image: la mère dragon lui remit un manteau d'or le troisième jour. Ce qu'aujourd'hui par nos concepts nous apprenons sur la triple involucre de l'être humain, c'était autrefois suggéré par l'image du manteau de cuivre, d'argent et d'or. Et pour les âmes, qui ont autrefois absorbé les formes idéelles du manteau de cuivre, d'argent et d'or, nous disons aujourd'hui ce qui peut éveiller cher elles la compréhension pour le corps physique dense, qui se comporte à l'égard des autres corps comme le cuivre à l'égard de l'argent et de l'or. Nous disons aujourd'hui: des entités lucifériennes sont restées en arrière lors de l'évolution planétaire de l'ancienne Lune, et il y en avait de sept espèces, qui se sont approchées du corps astral de l'être humain. Autrefois, le rhapsode disait: au moment où le fils du roi parvint sur la montagne où il devait rencontrer et s'unir à la fille de la reine des Fleurs, surgirent sept dragons, qui voulaient le dévorer, s'il n'accomplissait pas correctement sa tâche quotidienne. Nous savons: si notre évolution ne se déroule pas de la manière juste, elle s'expose en effet à être corrompue par les énergies des entités lucifériennes qui sont de sept natures diverses. Nous disons aujourd'hui: en traversant une évolution spirituelle, nous trouvons notre Je supérieur. Autrefois, on suggérait l'image suivante: le fils du roi s'unit avec la fille de la reine des Fleurs. Et nous disons: L'âme humaine doit s'insérer dans un certain rythme. Voici quelques semaines, j'ai dit: lorsqu'une idée quelconque s'est élevée en elle, l'âme humaine doit la laisser mûrir dans le temps, et elle pourra alors observer un certain rythme, car après sept jours, l'idée a pénétré au plus profond de l'âme, après quatorze jours l'idée, qui a mûri, peut s'emparer de la substance astrale extérieure et se laisser baptiser par l'esprit universel; après ving-et-un jours, elle est devenue encore plus mûre et ce n'est qu'après quatre fois sept jours, elle est alors si avancée qu'elle peut alors être remise au monde comme un don personnel de notre part. C'est un rythme intérieur de l'âme. Et seul peut créer dans un sens favorable celui qui n'est pas avide de répandre de suite dans le monde ce qui lui vient à l'idée, mais qui sait que l'ordre du monde extérieur se répète dans sa propre âme, et que nous devons vivre de manière à répéter dans notre monde microcosmique le monde macrocosmique. Le rhapsode disait: l'être humain doit mettre les forces de son âme en harmonie, il doit chercher la fille de la reine des Fleurs, et conclure une union avec elle, dans laquelle il vit avec elle durant une moitié de l'année, et la laisse vivre avec sa mère l'autre moitié de l'année, cette mère qui agit dans les profondeurs. Cela veut dire, l'homme se place dans un certain rythme et le rythme de sa vie s'écoule à l'unisson du rythme du macrocosme. Ces images car nous pourrions exposer des centaines d'images comme celles-là stimulèrent les énergies des âmes par leurs formes idéelles, si bien qu'aujourd'hui les âmes concernées sont devenues mûres pour entendre et comprendre d'autres formes idéelles, telles que celles que nous cultivons dans la science spirituelle. Mais cela devait se produire ainsi, pourrait-on dire, que la privation de cette aspiration ardente devait être vraiment très grande; mais d'abord devait, pour ainsi dire, disparaître dans le monde physique, tout ce qui vivait dans les âmes comme nostalgie spirituelle. Dans la première moitié du 19 (...) Paru dans Neues Denken, Automne 2004, 23ième année, n°3/4.
(1) Il s'agit d'un extrait tiré de la conférence faite à Berlin le 10 juin 1911. Le GA 124 est paru aux Editions Anthroposophiques Romandes et a pour titre : « Esotérisme de l'Evangile de Marc ». (1) En souvenir de la présence de